quando l’amore distrugge

Un jour de septembre ils se rencontraient,
Elle lassée d’amitiés masculines qui finissaient toutes par s’avérer intéressées par d’arrières pensées.
Lui le cœur flétri d’un amour envolé a tout jamais.

Elle lui raconta son idéal, rencontrer enfin un ami capable d’amitié véritable qui n’imaginerais jamais ni la toucher ni l’aimer.
Lui résolu à ne plus aimer et vivre en toute quiétude sa liberté, devint cet ami tant rechercher.

Cette amitié grandi sans cesse et devint magnifique agrémenté de compréhensions, confiance, complicité, réconfort et respect au point de susciter l’admiration chez les uns la jalousie chez d’autres.
Les deux amis bien déterminés à ne plus subir les tourments de l’amour, décidèrent de colloquer en toute liberté, paroxysme d’une amitié profonde et respectueuse.
Une période harmonieuse dans le respect des libertés de chacun malgré la découverte de petits défauts respectifs.
Cette promiscuité se traduisit une soirée de juillet par un amour immense et profond, promesse du dernier amour éternel qui permettrait d’anéantir les échecs et les blessures.
Ignorant leurs erreurs du passé, ils furent tout deux condamné à les reproduire.
Lui incapable de sacrifier sa liberté se sentant étouffé, séquestré par une possessivité démesurée, injustement accusé d’éloignement.
Elle incapable de contrôler sa jalousie se sentant délaissée, victime d’une relation amicale grandissante entre lui et son ex-femme et d’éloignement.

Lui, un jour de décembre, décida de mettre fin a cette relation insoutenable en commettant une rupture implacable.

Depuis tout deux errent le cœur déchiré en lambeaux torturés par un amour inoubliable et crient leurs peines dans le néant ayant comme dernier compagnons la colère et le chagrin
Elle hurle son envie de le revoir de lui parler mais par rancune refuse à chaque tentative de répondre.
Lui persuadé de l’incompatibilité des deux caractères l’appelle en refusant de réitérer cet amour destructeur.

Deux issue s’offre à l’ avenir,
Soit ils passent le reste de leurs vies séparé et abattus par les reproches et les regrets.
Soit par une rencontre fortuite les yeux dans les yeux ils seront incapables de se dire non, et reprendront cette relation, le naturel revenant au galop ils reproduiront leurs erreurs et seront condamné à rompre tout les six mois, écarté entre amour et haine.

Cette malheureuse situation est une tragédie Shakespearienne et pas un conte de fée Walt Disney avec son incontournable happy end.

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a Lucas

Ou es-tu frangin que cette merde de poudre a emporté au loin, frère même sang, frère de chaire différente, frère de même faiblesse.
Cette poussière d’étoile qui souvent nous a réunis aujourd’hui t’a anéanti, le fantasme de maîtriser notre blanche complice nous insistait a la côtoyer sans craintes, cette illusoire assurance a fini pas vaincre ta ténacité.
Ton départ immortalise le pouvoir de sa fourbe aptitude à feindre sa servitude pour mieux imbiber d’une dépendance sournoise sa victime qui ira irrémédiablement accroître sa macabre collection de trophée.
Tu étais le trait d’union entre les deux clans, le mortier qui rejointoyait les pierres divergentes du mur de notre famille dont ta disparition provoquera l’éboulement.
Tu rejoins notre padré dont l’absence avait occasionné notre perpétuel chagrin.
Notre indéfectible complicité me manquera à tout jamais
Le plus tard possible on se rejoindra.
Ciao fratello mio, ciao combare mio

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le scorpion et la grenouille

Un scorpion qui avait besoin de traverser une rivière, demanda à une grenouille de le mener jusqu’à l’autre rive, sur son dos.
 » Il n’en est pas question, répondit la grenouille. Je te connais et je sais que si je te laisse monter sur mon dos, tu me piqueras pour me tuer  »
 » Mais alors, je vais mourir noyé, répondit le scorpion  »
La grenouille finit par accepter, mais alors qu’ils étaient à la moitié du parcours, le scorpion la piqua, lui injectant son venin mortel.
 » Mais qu’est-ce que tu as fait, malheureux, s’écria la grenouille. Maintenant, tu vas mourir, toi aussi !- Je n’y peux rien, dit le scorpion. C’est ma nature  »

dédicacé a fabienne

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De jour en jour


De jour en jour, tu comprends que le temps
Souffle sur ton visage et te vole un sourire
La belle saison qui s’en va lentement
A soufflé sur ton cœur et t’a volé tes rêves.

De jour en jour, tout se fond dans les larmes
Même ce souvenir, affaibli par le temps
Quand nous vivions, tous deux, dans une chambre
Sans rien dans les mains que notre seule espérance.

De jour en jour, je te perds, tu t’éloignes
Et notre passé ne ressemble à rien
Pourtant on s’est aimés, pourtant on y croyait
On s’était même juré de ne jamais se quitter

 

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Quand un amour s’en est allé

Quand un amour s’en est allé
Comme j’ai vu s’échapper le mien

Ce vide qui me fait hurler
Sans une parole, sans une raison, sans rien
je sens le vide autour de moi

Car je ne comprends plus rien
De ce vide qui pèse en moi

Et je refais tout le chemin de mes souvenirs
En cherchant partout la raison
Parce qu’un amour ne devrait jamais finir

Il n’y a pas de raison
Et je me fous des amitiés
Et je me fous des joies passées
Et je me fous de boire, de me saouler
Et je me fous du monde désormais

Je voudrais changer de peau
Je voudrais changer de ville

Je voudrais changer de nom

Je voudrais changer de vie

Parce qu’elle est là collée à moi
je n’arrive plus a respirer

Parce qu’elle est là au fond de moi
Et jamais je ne pourrai l’arracher

Si je pouvais raisonner un peu

Elle ne sera plus jamais maintenant

Si je pouvais raisonner un peu
Je sais très bien que demain sera différent

Si je pouvais raisonner un peu
je ne serais plus le même homme dorénavant

Si je pouvais raisonner un peu

Plus personne ne m’attend

 

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Bonjour tout le monde !

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sens interdit

 

Quelqu’un mas dis il y a longtemps : Lorsque tu vois de trop nombreuses personnes marcher dans l’autre sens, dis toi que tu marche a contre sens.

 

Je reste malgré tout certain que si toutes ses personnes exhiberaient un minimum de satisfaction au lieu de se résignent à circuler dans le sens obligatoire, mon  besoin irrésistible et mon immense joie à circuler dans le sens interdit en seraient atténué.

 

Pendant de trop nombreuses années j’ai tenté d’abdiquer et de renoncer à ce libre choix, cet abandon de ma personnalité m’as en effet dispensé des obstacles et condamnations infligés lors de l’usage de ma liberté.

 

Cette démission paralysait cette jouissance vital a mon bien être.

 

Cette façon de vivre me contraint à déplaire aux dociles disciplinés qui se soumettent sans se révolter aux plus inutiles et grotesques règlements de cette société.

 

Mon amitié ou mon amour est parfois partagé par les plus obéissants, a qui je supplie de m’éviter le chagrin que me provoqueras leur éloignement.

 

 

 

La résignation est un suicide quotidien (Honoré de Balzac)

 
 
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le corbeau et le lapin

Le lapin et le corbeau.

 

 

 

Maitre corbeau sur son arbres perché dans les feuillages, vis maitre lapin approcher qui lui tin à peu près ce langage.

 

Hé salut feignasse dit le lapin, tu peux parler rétorque le corbeau je te vois tout les aprèm allongé a rien branler.

 

Si tu veux toi aussi répond le lapin tu peux roupiller pendant que les autres blaireaux vont travailler.

 

A ces mots le corbeau ouvre un large bec et dis, tu as raison la vie est trop courte faut en profiter.

 

Nos deux compères entamèrent une crapuleuse sieste à tout casser.

 

Maitre renard pas les ronflements alerté approcha lentement de maitre lapin, il lui sauta dessus le mordis et le bouffa.

 

Morale de cette histoire :

 

Dans la vie si tu veux glander vaut mieux être haut placé

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ou vont

Ou s’en vont ceux qui s’en vont lorsqu’ils s’en vont

Ou sont se qu’ils ont qui fait se qu’ils sont

 

Leurs départ leur épargne t-il la souffrance du triste tableau de notre chagrin

Savent-ils a quel point leur absence guide notre quotidien

 

Un parfum, un son une image ranime en nous leur souvenir

Un chagrin  une consolation qui adouci se qu’il nous faut souffrir

 

De cette  douce évocation qui dévore notre cœur

Doivent-ils en plus de leur disparition souffrir de notre douleur

 

De la vie nous retiendrons son aptitude à métamorphoser notre existence

Aussi en une seconde d’effacer nos certitudes pour nous rappeler son importance

 

D’inévitables bouleversements  notre vie se garni funestes ou exquis

Ces innombrables chamboulements infinis sans cesse rythmerons notre vie

 

Amours familles et amitiés irrévocablement perdues Cette commémoration je vous dédie sans oublier vos mémorables vertus

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ce sourire là

Qu’est-ce qui les fait sourire comme ça,
Ces gosses devant la caméra,
Comme si la guerre autour n’existait pas ?
Qu’est-ce qu’ils ont à nous regarder
Sans même avoir l’air étonné
Qu’on puisse être ailleurs et vivre en paix ?

Ce sourire-là,
Il dit "Toi qui me vois, ne m’oublie pas.
Où que tu sois,
Fais au moins ça pour moi, ne m’oublie pas.

Je suis la vie qui résiste
Quand plus personne n’y croit.
Je suis l’espoir aux yeux tristes
Dans le fracas des combats.

Qu’est-ce qui les fait sourire encore,
Ces gosses des rues, toujours dehors,
Entre la peur et la loi du plus fort ?
Est-ce qu’ils sourient pour la photo,
Ou parce que pour sauver sa peau
Les autres et la misère, c’est déjà trop ?

Je suis la vie qui avance.
Je suis l’homme de demain.
Je suis ce rien d’innocence
Dont le monde aura besoin.
Ne m’oublie

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